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On peut garder le poing fermé et ne rien recevoir, ou tendre la paume de sa main vers le ciel, et recevoir.

 

La vie est mouvement.

 

Tout passe. 

 

On naît, on vit, on meurt.

 

Un temps, nul ne sait combien.

 

Joies, peines, victoires, drames.

 

La vie serait-elle comme un goulag que Soljénitsyne définissait comme "un grand éclat de rire"?

 

Vivre, c'est apprendre à exister, c'est tomber, se relever, retomber, se relever encore.

 

On peut choisir la mort de son vivant, comme on peut choisir de rester, de tenir.

 

Pour quoi, pour qui... D'abord pour soi.

 

Chaque être est un don, unique.

 

Chaque être est un chemin, unique.

 

Ce site a vocation à promouvoir la résilience et l'autonomie.

 

Il propose des points d'appuis visuels et écrits, pour favoriser le rebond et la paix intérieure.

 

L'idée est le fruit d'un long voyage intérieur, d'expériences.

 

Il est un ensemble de bois flotté qui a traversé les océans et s'est échoué sur un rivage inconnu au départ.

 

Il est le fruit de la question: "que fais-tu?" à laquelle j'aurais aimé répondre si on m'avait dit ce qu'on devrait demander: "qui es-tu?"

 

Car est-on ce qu'on fait? Alors pourquoi change-t-on de métier ou en a-t-on plusieurs à la fois?

 

Nous sommes vivants, c'est-à-dire en perpétuel changement. Accepter ce qu'on devient, c'est apprendre à s'aimer.

 

Nous devenons chaque jour ce que nous sommes.

 

Cheminer avec qui nous sommes appelés à devenir c'est faire honneur à la vie qui nous habite.

 

Il n'y a rien de plus urgent que maintenant. Le présent est un présent, la seule Sagesse.

 

Il n'y a pas de hasard. Si vous lisez ces lignes c'est pour recevoir.

 

Je vous souhaite le meilleur de vous.

 

Pour vous, et pour le monde.

 

Si chacun est au sommet de lui-même et à sa place, le monde ne s'en portera que mieux.

 

 

 

 

 

 

Le ressac de la mer, c'est la musique de l'éternité qui vient bercer nos âmes, caresser nos coeurs, laver nos corps - Marie-Aude Honorat
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Photo © Marie-Aude Saint Michel, Cannes

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